Mercredi 29 septembre 2010
La fémis, Paris
La Poste Lente
Un film de de Jean Didion et Jean-Marc Bihan-Faou
2010, 5 minutes, 16 mm
Jamais votre courrier n’aura voyagé aussi poétiquement.
Les dernières répliques
Un film à sketchs de Stéphanie Ditche, Christophe Pellet et Arnold Pasquier
2010, 31 minutes, vidéo
Plus dure sera la chute
de Christophe Pellet
avec Jérémie Bichüe, Louise-Anne Hippeau, Adrien Dantou
La vie continuera sans moi
de Arnold Pasquier
avec Hugo Godart, Mickaël Phelippeau, Livio Garuccio, Thusnelda Mercy
Dans la nuit
de Stéphanie Ditche
avec Séverine Fondeur, Claire Pala, Muriel Ryngaert, Anne Frédérique
À l’invitation d’Arnold Pasquier, cette histoire à trois s’est construite sur une collection de dernières répliques cinématographiques rassemblées par Christophe Pellet : les derniers mots de cinéma de Humphrey Bogart, Greta Garbo, Marlène Dietrich, Brigitte Bardot, Anna Magnani, Marylin Monroe, Romy Schneider. C’est en commençant par la fin, par la présence de l’acteur avant son absence que le “jeu” s’est articulé entre les trois films et dans cette mémoire de cinéma.
http://www.dailymotion.com/video/xei8ua_les-dernieres-repliques-teaser_creation
Paramount [Diaporama]
2010, 30 minutes, diaporama musical
Projection de photographies sélectionnées par Arnold Pasquier
Musique de Gérald Kurdian (This is the Hello Monster !)
Sur une idée de Frank Smith.
“Au hasard d’un blog, je trouve une photographie postée, puis une autre. Je devine qu’elles font suite, séquence. Elles me trouvent et deviennent, dans un agencement en mouvement, le déroulé d’un film désiré”.
Arnold Pasquier
“On joue à un nouveau jeu, sur une nouvelle plateforme. On fait du cinéma. D’un côté, des images pasquiériennes, presque aériennes tant la nostalgie, la légèreté, un désir d’affleurement de corps inconnus les touchent de près. De l’autre côté, un flux musical et chanté très kurdianesque, c’est-à-dire haut (en couleur), bas (doucement) et fragile (en action sensible). Paramount est un diaporama musical, un assemblage images/sons où des photographies empruntées à la toile collent, rigoureusement, à des mélodies sonores. Cela se déroule, cela déplie nos vies de ne jamais finir d’aimer.”
Frank Smith